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DISCOURS
DU
PAPE
PAUL
VI
AUX
PARTICIPANTS
AU
IIIème
CONGRÈS
INTERNATIONAL
DU
RENOUVEAU
CHARISMATIQUE
CATHOLIQUE
Vendredi
19
mai
1975
(xin
xem
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Anh
bên
dưới
bản
tiếng
Pháp
này)
Vous
avez
choisi
en
tette
Année
sainte
la
ville
de
Rome
pour
célébrer
votre
troisième
Congrès
international,
chers
fils
et
chères
filles;
vous
Nous
avez
demandé
de
vous
rencontrer
aujourd’hui
et
de
vous
adresser
la
parole:
vous
avez
voulu
montrer
par
là
votre
attachement
à l’Eglise
instituée
par
Jésus-Christ
et à
tout
ce
que
représente
pour
vous
ce
Siège
de
Pierre.
Ce
souci
de
bien
vous
situer
dans
l’Eglise
est
un
signe
authentique
de
l’action
de
l’Esprit
Saint.
Car
Dieu
s’est
fait
homme
en
Jésus-Christ,
dont
l’Eglise
est
le
Corps
mystique,
et
c’est
en
elle
que
l’Esprit
du
Christ
fut
communiqué
au
jour
de
la
Pentecôte,
quand
il
descendit
sur
les
Apôtres
réunis
d’ans
«la
chambre
haute»,
«assidus
à la
prière»,
«autour
de
Marie,
mère
de
Jésus»
(Cfr.
Act.
1,
13-14).
Nous
le
disions
en
octobre
dernier
devant
quelques-uns
d’entre
vous,
l’Eglise
et
le
monde
ont
besoin
plus
que
jamais
que
«le
prodige
de
la
Pentecôte
se
poursuive
dans
l’histoire»
(L’Osservatore
Romano,
17
oct.
1974).
En
effet,
grisé
par
ses
conquêtes,
l’homme
moderne
a
fini
par
s’imaginer
que,
selon
les
expressions
du
dernier
Concile,
«il
est
à
lui-même
sa
propre
fin,
le
seul
artisan
et
démiurge
de
sa
propre
histoire»
(Gaudium
et
Spes,
20,
et
1).
Hélas!
chez
combien
de
ceux-là
mêmes
qui
continuent,
par
tradition,
à
professer
son
existence,
et,
par
devoir,
à
lui
rendre
un
culte,
Dieu
n’est-il
pas
devenu
un
étranger
dans
leur
vie?
Rien
n’est
plus
nécessaire
à un
tel
monde,
de
plus
en
plus
sécularisé,
que
le
témoignage
de
ce
«renouveau
spirituel»,
que
Nous
voyons
le
Saint-Esprit
susciter
aujourd’hui
dans
les
régions
et
les
milieux
les
plus
divers.
Les
manifestations
en
sont
variées:
communion
profonde
des
âmes,
contact
intime
avec
Dieu
dans
la
fidélité
aux
engagements
pris
lors
du
baptême,
dans
une
prière
souvent
communautaire,
où
chacun,
s’exprimant
librement,
aide,
soutient,
nourrit
la
prière
des
autres,
et,
à la
base
de
tout,
une
conviction
personnelle,
qui
n’a
pas
sa
source
uniquement
dans
un
enseignement
reçu
par
la
foi,
mais
aussi
dans
une
certaine
expérience
vécue,
à
savoir
que,
sans
Dieu,
l’homme
ne
peut
rien,
qu’avec
lui,
par
contre,
tout
devient
possible:
d’où
ce
besoin
de
le
louer,
de
le
remercier,
de
célébrer
les
merveilles
qu’il
opère
partout
autour
de
nous
et
en
nous.
L’existence
humaine
retrouve
sa
relation
à
Dieu,
ce
qu’on
appelle
la
«dimension
verticale»,
sans
laquelle
l’homme
est
irrémédiablement
mutilé.
Non
certes
que
cette
recherche
de
Dieu
apparaisse
comme
une
volonté
de
conquête
ou
de
possession;
elle
veut
être
pur
accueil
de
Celui
qui
nous
aime
et
librement
se
donne
à
nous,
désirant,
parce
qu’il
nous
aime,
nous
communiquer
une
vie
que
nous
avons
à
recevoir
gratuitement
de
Lui,
mais
non
pas
sans
humble
fidélité
de
notre
part.
Et
cette
fidélité
doit
savoir
unir
l’action
à la
foi
selon
l’enseignement
de
saint
Jacques:
«De
même
que
le
corps
sans
âme
est
mort,
la
foi
sans
les
œuvres
est
morte»
(Iac.
2,
26).
Comment
alors
ce
«renouveau
spirituel»
ne
pourrait-il
pas
être
une
«chance»
pour
l’Eglise
et
pour
le
monde?
Et
comment,
en
ce
cas,
ne
pas
prendre
tous
les
moyens
pour
qu’il
le
demeure?
Ces
moyens,
chers
fils
et
chères
filles,
le
Saint-Esprit
voudra
bien
vous
les
indiquer,
selon
la
sagesse
de
ceux
qu’il
a
lui-même
«établis
gardiens
pour
paître
l’Eglise
de
Dieu»
(Act.
20,
28).
Car
c’est
le
Saint-Esprit
qui
a
inspiré
à
saint
Paul
certaines
directives
fort
précises,
que
Nous
nous
contenterons
de
vous
rappeler.
Y
être
fidèles
sera
pour
vous
la
meilleure
des
garanties
pour
l’avenir.
Vous
savez
le
grand
cas
que
l’Apôtre
faisait
des
«dons
spirituels»:
«N’éteignez
pas
l’Esprit»,
écrivait-il
aux
Thessaloniciens
(1
Thess.
5,
19),
tout
en
ajoutant
aussitôt:
«Vérifiez
tout,
retenez
ce
qui
est
bon»
(Ibid.
5,
21).
Il
estimait
donc
qu’un
discernement
était
toujours
nécessaire,
et
il
en
confiait
le
contrôle
à
ceux
qu’il
avait
mis
à la
tête
de
la
communauté
(Ibid.
5,
l2).
Avec
les
Corinthiens,
quelques
années
plus
tard,
il
entre
dans
plus
de
détails:
il
leur
signale
notamment
trois
principes
à la
lumière
desquels
ils
pourront
plus
aisément
pratiquer
ce
discernement
indispensable.
Le
premier,
par
quoi
il
commence
son
exposé,
est
la
fidélité
à la
doctrine
authentique
de
la
foi
(1
Cor.
12,
1-3).
Ce
qui
la
Contredirait
ne
saurait
provenir
du
Saint-Esprit:
celui
qui
distribue
ses
dons
est
le
même
qui
a
inspiré
l’Ecriture
et
qui
assiste
le
Magistère
vivant
de
l’Eglise
auquel,
selon
la
foi
catholique,
le
Christ
a
confié
l’interprétation
authentique
de
cette
Ecriture
(Cfr.
Dei
Verbum,
10).
C’est
bien
pourquoi
vous
éprouvez
le
besoin
d’une
formation
doctrinale
toujours
plus
approfondie:
biblique,
spirituelle,
théologique.
Seule
une
telle
formation,
dont
l’authenticité
doit
être
garantie
par
la
Hiérarchie,
vous
préservera
de
déviations
toujours
possibles,
et
vous
donnera
la
certitude
et
la
joie
d’avoir
servi
la
cause
de
l’Evangile
«sans
frapper
dans
le
vide»
(1
Cor.
9,
26).
Deuxième
principe.
Tous
les
dons
spirituels
sont
à
recevoir
avec
gratitude;
et
vous
savez
que
l’énumération
est
longue
(Ibid.
12,
4-10.
28-30),
sans
d’ailleurs
prétendre
être
complète
(Cfr.
Rom.
12,
6-8;
Eph.
6,
11).
Toutefois,
accordés
«en
vue
du
bien
commun»
(1Cor.
12,
7),
ils
ne
le
procurent
pas
tous
au
même
degré,
Aussi
les
Corinthiens
doivent-ils
«ambitionner
les
dons
supérieurs»
(Ibid.
12,
31),
les
plus
utiles
à la
communauté
(Cfr.
Ibid.
14,
1-5).
Le
troisième
principe
est,
dans
la
pensée
de
l’Apôtre,
le
plus
important.
Il
lui
a
suggéré
une
des
pages
les
plus
belles,
sans
doute,
de
toutes
les
littératures,
à
laquelle
un
traducteur
récent
a
donné
un
titre
évocateur:
«Au-dessus
de
tout
plane
l’amour»
(E.
OSTY).
Si
désirables
que
soient
les
dons
spirituels
- et
ils
le
sont
-
seul
l’amour
de
charité,
l’agape,
fait
le
chrétien
parfait,
seul
il
rend
l’homme
«agréable
à
Dieu»,
gratia
gratum
faciens,
diront
les
théologiens.
C’est
que
cet
amour
ne
suppose
pas
seulement
un
don
de
l’Esprit;
il
implique
la
présence
active
de
sa
Personne
au
cœur
du
chrétien.
Commentant
ces
versets,
les
Pères
de
l’Eglise
l’expliquent
à
l’envie.
Au
dire
de
saint
Fulgence,
pour
ne
citer
qu’un
exemple,
«le
Saint-Esprit
peut
conférer
tout
espèce
de
dons
sans
être
présent
lui-même;
il
prouve
en
revanche
qu’il
est
présent
par
la
grâce,
quand
il
accorde
l’amour»
, se
ipsum
demonstrat
per
gratiam
praesentem,
quando
tribuit
caritatem
(S.
FULGENTII
Contra
Fabianum,
Fragment
28:
PL
65,
791).
Présent
dans
l’âme,
il
lui
communique,
avec
la
grâce,
la
propre
vie
de
la
Très
Sainte
Trinité,
l’amour
même
dont
le
Père
aime
le
Fils
dans
l’Esprit
(Cfr.
Io.
17,
26),
l’amour
dont
le
Christ
nous
a
aimés
et
dont
à
notre
tour
nous
pouvons
et
devons
aimer
nos
frères
(Cfr.
Io.
13,
34),
«non
seulement
en
paroles,
avec
la
langue,
mais
en
actes,
véritablement»
(1
Io.
3,
18).
Oui,
l’arbre
se
juge
à
ses
fruits,
et
saint
Paul
nous
dit
que
«le
fruit
d’e
l’Esprit,
c’est
l’amour»
(Gal.
5,
22),
tel
qu’il
l’a
décrit
dans
son
hymne
à
l’amour.
C’est
à
lui
que
sont
ordonnés
tous
les
dons
que
l’Esprit
Saint
distribue
à
qui
il
veut,
car
c’est
l’amour
qui
édifie
(Cfr.
1
Cor.
8,
1),
comme
C’est
lui
qui,
après
la
Pentecôte,
a
fait
des
premiers
chrétiens
une
communauté
«assidue
à la
communion
fraternelle»
(Act.
2,
42),
«tous
n’ayant
qu'un
cœur
et
qu’une
âme»
(Ibid.
4,
32).
Soyez
fidèles
à
ces
directives
du
grand
Apôtre.
Et
selon
l’enseignement
du
même
Apôtre,
soyez
également
fidèles
à
célébrer
fréquemment
et
dignement
l’Eucharistie
(Cfr.
1
Cor.
11,
26-29).
C’est
la
voie
que
le
Seigneur
a
choisie
pour
que
nous
ayons
sa
Vie
en
nous
(Cfr.
Io.
6,
53).
De
même
encore,
approchez-
vous
avec
confiance
du
sacrement
de
la
réconciliation.
Ces
sacrements
expriment
que
la
grâce
nous
vient
de
Dieu,
par
la
médiation
nécessaire
de
l’Eglise.
Chers
Fils
et
chères
Filles,
avec
le
secours
du
Seigneur,
forts
de
l’intercession
de
Marie,
mère
de
l’Eglise,
et
en
communion
de
foi,
de
charité
et
d’apostolat
avec
vos
Pasteurs,
vous
serez
sûrs
de
ne
pas
vous
tromper.
Et
vous
contribuerez
ainsi
pour
votre
part,
au
renouveau
de
l’Eglise.
Jésus
est
le
Seigneur!
Alleluia!
|
http://www.vatican.va/holy_father/paul_vi/speeches/1975/documents/hf_p-vi_spe_19750519_rinnovamento-carismatico_fr.html
SPEECH OF POPE PAUL VI
THE participants at the 3rd INTERNATIONAL Congress
THE CATHOLIC CHARISMATIC RENEWAL
Friday, May 19, 1975
You have chosen girls in Tetun Holy year
the city of Rome to celebrate your third international Congress,
dear son and expensive;
You asked us
to meet you today and speak you: you wanted to show that your
attachment to the Church established by Jesus Christ and all
that for you represents the seat of Peter. This concern
well you put in the Church is a genuine sign of the action of
the Holy Spirit. Because God became man in Jesus Christ, the
Church is the mystical body, and it is in her that the spirit of
the Christ was release on the day of Pentecost, when he
descended on the Apostles gathered years "upper house", "repeat
in prayer", "around Mary, mother of Jesus" (Cfr. Act ).
1, 13-14).
Noted last October before some of you, the Church
and the world need more than ever that "prodigy of Pentecost
continues in history" (The L'Osservatore Romano, 17 oct.
1974). Grayed by conquests, modern man has, by imagine
that, according to the expressions of the last Council, "he is
himself his own end," "the
only craftsman and demiurge of its own history" (Gaudium
et Spes,
20, and 1). Hélas! in how many of those who continue to profess
its existence, by tradition, and, by duty, his worship, God has
not become a stranger in their life?
Nothing is more necessary in such a world, more
and more secularized, that the testimony of this "spiritual
renewal", we see the Holy Spirit today raise in the regions and
the community the more various. The manifestations are varied:
communion deep souls, intimate contact with God in fidelity to
the commitments made at baptism, in often community prayer,
where each, speaking freely, help, support, feeds the prayer,
and, at the base of everything, a personal conviction, has not
its source only in education received by faith, but also in
lived experiencenamely that without God man may not nothing,
that with him, on the other hand, everything becomes possible:
hence this need to rent, thank, celebrate the wonders it
operates everywhere around us and in us.
Human existence found his relationship to God,
called the "vertical dimension", without which man is fatally
mutilated. Not true as this search for God appears as a desire
for conquest or possession; She wants to be pure home from that
which we love and freely gives us, wishing to, because he loves
us, communicate us a life that we have to receive free him, but
not without humble loyalty on our part. And this fidelity must
know unite the action of faith according to the teaching of
saint Jacques: "the body without a soul is dead, faith without
works is dead" (Iac ).
2, 26).
How then could this "spiritual renewal" be a
"chance" for the Church and the world? And how, in this case, do
not take all means that he remains?
These means, dear son and expensive girls, the
Holy Spirit please indicate you, according to the wisdom of
those whom he himself has "established guards to graze the
Church of God" (Act. 20, 28). Because it is the holy
spirit that inspired some very specific guidelines that suffice
to remind you to saint Paul. Be faithful will be for you the
best of the guarantees for the future.
You know the great case of "spiritual gifts" that
the Apostle: "Did not extinguish the spirit", wrote to the
Thessalonians (1 Thess. 5, 19), by adding
immediately: "Check all, retain what is good" (Ibid ).
5, 21).
He felt therefore that a caution was still
necessary, and he entrusted control to those that it had the
head of the Community (Ibid. 5, l2). With the
Corinthians, a few years later, it enters details: it signals
them including three principles on which they can more easily
perform this critical discernment.
The first, by what he began his presentation, is
faithful to the authentic doctrine of the faith (1 Cor.
12, 1-3). That would contradict cannot come from the Holy
Spirit: who distributes his gifts is the same that inspired the
Scriptures and who attends the Magisterium of the Church which,
according to the Catholic faith, Christ has entrusted the
interpretation genuine of this Scripture (Cfr. )
Dei Verbum , 10). This is why
you have the need for a still deeper doctrinal formation:
Biblical, spiritual, theological. Only such training, of which
the authenticity must be guaranteed by the hierarchy, will
preserve you of possible deviations, and will give you the
certainty and the joy of having served the cause of the Gospel
"without hitting in a vacuum" (1 Cor. 9, 26).
Second principle. All spiritual gifts are to
receive with gratitude; and you know that the enumeration is
long (Ibid., 12 4-10. 28-30), without also claim to be
complete (Cfr. Rom. 12, 6-8;) Eph. (6, 11).
However, awarded "for the common good" (1Cor. 12, 7),
they all at the same level not provide, so must the Corinthians
"aspire higher donations" (Ibid. 12, 31), the most useful
to the Community (Cfr. Ibid ).
14, 1-5).
The third principle is, in the thinking of the
Apostle, the most important. He suggested one of the most
beautiful pages, no doubt, of all literature, to which a recent
translator gave a suggestive title: "Above all plane love" (e.
OSTY).
If desirable that are spiritual gifts - and they
are - only the love of charity,agape, is the Christian
ideal, only it makes "pleasant God" human, gratia gratum
faciens, say theologians. It is that this love implies
not only a gift of the spirit; It implies the active presence of
the person at the heart of the Christian. Commenting on these
verses, the fathers of the Church explained to envy. Saint
Fulgence, to cite only one example, said "the Holy Spirit can
confer any species of donations without being present himself;"
"it proves however that it is present by the grace, when
he gives love" , to ipsum demonstrat per gratiam praesentem,
quando tribuit caritatem (s. FULGENTII Contra Fabianum,
Fragment 28: PL 65, 791). Present in the soul, it
communicates, with grace, the lives of the most Holy Trinity,
the love which the father loves the son in the spirit (Cfr.
Io. 17, 26), the love which Christ has loved us and which in
our turn we can and must love our brothers (Cfr. Io. 13,
34), not "only in words, with the language".", but in acts,
truly" (1 Io ).
3, 18).
Yes, the tree will judge its fruit, and saint
Paul tells us that "the fruit of e the spirit, is the love" (Gal.
5, 22), as he described in his hymn to love. It is to him that
are ordered all the gifts that the Holy Spirit distributes who
he wants, because it is love that builds (Cfr. 1 Cor.
8, 1), as is he, after Pentecost, did early Christian community
"assiduous in fraternal communion" (Act. 2, 42), "all
having a heart and a soul" (Ibid ).
4, 32).
Be faithful to the guidelines of the great
apostle. And according to the teaching of the same Apostle, be
also faithful to celebrate the Eucharist worthily and frequently
(Cfr. 1 Cor. 11, 26-29). This is the path that the
Lord has chosen so that we have life-we (Cfr. Io. 6, 53).
Same again, approach - you confidently of the sacrament of
reconciliation. These sacraments express the grace comes from
God, by the necessary mediation of the Church.
Dear son and expensive girls, with the aid of the
Lord, strong of the intercession of Mary, mother of the Church,
and in communion of faith, charity and apostolate with your
pastors, you will be safe not to mislead you. And you help for
your part, to the renewal of the Church.
Jesus is the Lord! Alleluia! |
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không được chính xác theo chữ nhưng qua bản dịch tạm này vẫn có thể nắm
bắt được nội dung của bài nói.
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